Administración

Assurer l'usage des biens publics et communs, du bord de mer et de la plage.

Petición a.
Municipalité de Paros, Services immobiliers des Cyclades, Procureur Général de Syros, Bureau du Procureur des appels de l’Égée, Autorité Portuaire de Paros, Police de Paros, Bureau d'Urbanisme de Paros
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  1. Iniciado julio 2023
  2. Colecta terminada.
  3. Preparar presentación.
  4. Diálogo con destinatario
  5. Decisión

14/07/2023 22:23

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Nouveau texte de pétition:

Nous, soussignés, citoyens, résidents, résidents à temps partiel ou visiteurs de l'île de Paros, portons à votre attention une question très préoccupante concernant de nombreuses violations et actions arbitraires de la part d'entrepreneurs à qui la municipalité de Paros a accordé le droit de simple utilisation des zones communes du bord de mer et de la plage. Au fil des ans, nous avons observé un mépris constant des termes et conditions énoncés dans ces concessions. Il est impératif que des mesures immédiates soient prises pour remédier à ces violations et assurer la protection de nos droits légalement garantis d'utiliser les biens publics et communs du bord de mer et de la plage.

Les violations dont nous sommes témoins sont les suivantes :

  1. Occupation non autorisée d'une plus grande surface d'espace public que celle spécifiée par la décision ministérielle conjointe 38609 EX 2023 (Journal officiel 1432 / B ́ / 10-03-2023), dépassant les limites autorisées par les licences pertinentes pour la concession de l'usage simple des espaces communs du bord de mer et de la plage (article 12, paragraphe c).
  2. Placement de chaises, tables, parasols et chaises longues à une densité nettement supérieure à celle autorisée et à une distance inférieure à cinq mètres du littoral (article 12, paragraphe 3).
  3. Pollution sonore causée par une musique trop forte dépassant la limite maximale autorisée de 50 décibels (annexe 4, paragraphe 5).
  4. Construction de structures permanentes/semi-permanentes sur le bord de mer et la plage, telles que planchers, maçonnerie, pergolas et bâtiments, en violation de la législation en vigueur (annexe 1 de la DMJ).
  5. Entrave à l'accès libre et à l'utilisation commune des côtes par l'installation d'enseignes ou d'autres moyens.
  6. Privatisation de facto des plages adjacentes par les propriétaires d'hôtels ou de villas, qui empêchent l'accès des citoyens par des panneaux ou des clôtures dissuasifs.

Signatures au moment de la modification 172


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