Le pétitionnaire n'a pas soumis/transmis la pétition
Le numérique est standard, l'analogique est le complément.
Le problème:
En grec, σχολή signifie à vrai dire “loisir”, un temps pendant lequel on n’a pas à travailler, donc à l’origine ça a une connotation positive.
L’école est devenue peu à peu un lieu de stress et de frustration.
Les parents exigent des professeurs qu’ils soient bons. Être bon signifie :
1) être compétent dans la discipline: avoir les connaissances,
2) être un bon enseignant: transmettre les connaissances,
3) être un bon pédagogue: comprendre la psychologie des élèves,
4) avoir une autorité naturelle,
5) être objectif,
6) être exemplaire.
Tout ça à la fois! Un peu beaucoup, non?
Sans compter l’intégration des étrangers, des enfants handicapés, etc Les classes n’ont jamais été homogènes.
La plupart des professeur-e-s sont dans l’impossibilité d’accomplir tout cela. En plus, les élèves sont de plus en plus difficiles. Les professeur-e-s sont surmené-e-s. La pédagogie frontale est donc le terrain idéal pour l’affrontement. Les professeur-e-s se trouvent parfois devant une horde d’enfants mal élevés. Les élèves se moquent de leurs profs, les professeur-e-s se défoulent sur leurs élèves. Au bout du compte tout le monde est plus ou moins frustré : professeur-e-s et parents.
Suggestion de solution au problème :
Disciplines et didactiques : Des logiciels prennent la relève (mais pas pour les tout petits) car les professeur-e-s n’ont ni l’envie ni le temps de préparer, d’élaborer, d’expliquer et surtout de répéter. Chaque élève accomplit au cours de sa scolarité un programme numérique bien défini. Les professeur-e-s assistent/soutiennent leurs élèves en tant que coachs. Le programme est le même pour tous, fixé d’avance: de la formation générale à la spécialisation le plus tôt possible. Les professeurs ne peuvent plus se choisir leur propre programme.
« Enseignement individuel » : Le concept repose sur l’apprentissage individuel à l’aide de vidéos pédagogiques et explicatives. Mais pas seulement. Les cours doivent être hybrides : cours virtuels (sur ordinateur) et cours présentiels (en groupe) alternent (« enseignement mixte »). L’apprentissage individuel alterne avec le travail de groupe/apprentissage collaboratif, débats, projets de théâtre, etc. Même à l’avenir, on ne pourra pas se passer du papier.
Ne pas oublier: 1-2 heures de sport quotidiennement, la musique, la danse, l’art, les cours de cuisine (les enfants mangent ce qu’ils préparent eux-mêmes), contribution à la protection de l’environnement, effectuer des tâches d'utilité publique (par exemple dans agriculture biologique), nettoyer les salles de classe, les élèves et les retraité-es font des échanges de connaissances et de savoirs (maintenant via visioconférence à cause du Covid).
Raison
D’un point de vue pédagogique :
Des tuteurs : de pair à pair = Les élèves se donnent des cours mutuellement.
Les élèves adorent assumer des devoirs et des responsabilités : donc on leur en donne et en même temps on instaure une hiérarchie. Les élèves se prennent en charge mutuellement. Les élèves dignes de confiance et fiables prennent en charge les élèves sur qui on ne peut pas compter et qui ont besoin d’aide, qui n’ont pas compris la matière. Ceux-ci se trouvent au niveau le plus bas mais chaque élève a la possibilité de progresser. Les élèves doivent faire un compte-rendu sur les autres élèves auprès des professeurs, les professeurs parlent avec tous les élèves (entretiens de retour). Les cas difficiles seront entièrement pris en charge par les professeur-e-s. Les élèves ne seront plus uniquement notés sur leurs connaissances mais aussi sur leur comportement social (note de vie scolaire) : à savoir jusqu’à quel point ils ont aidé les autres élèves, par exemple en leur expliquant la matière quand le logiciel d’apprentissage n’est pas suffisant, …
Créer l’esprit d’équipe et évaluer l’école :
Le baccalauréat centralisé pour tous (comme c’est déjà le cas en France), évaluer l’école en fonction de ses résultats, les élèves se contrôlent et s’aident mutuellement, les ordinateurs contrôlent les élèves, les professeur-e-s se contrôlent mutuellement, les professeur-e-s contrôlent les élèves et les ordinateurs, les élèves évaluent les professeur-e-s, la directrice/le directeur est au-dessus de tous (entretiens de retour et questionnaires). - Malheureusement, sans contrôle, rien ne marche!
Un résultat d’examen ne doit pas dépendre de l’humeur de la/du professeur-e.
Les enseignant-e-s sont payé-e-s d’après les résultats : mieux payer les bons professeur-e-s, mettre à la porte/licencier les mauvais-es professeur-e-s. Supprimer le statut de fonctionnaire ou le redéfinir, publier les programmes scolaires sur Internet et les rendre ainsi accessible à tous (FLOT = Formation en ligne ouverte à tous).
Les professeur-e-s auront d’autres tâches, comme coach, comme chef de projets de théâtre, ou ils amélioreront les programmes informatiques avec de nouvelles idées…
Le but ce n’est pas de donner de mauvaises notes, mais d’acquérir des connaissances et des savoir faire et de bonnes notes.
Lien vers la pétition
Actualités
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Petition wurde nicht eingereicht
à 03/01/2022Liebe Unterstützende,
der Petent oder die Petentin hat innerhalb der letzten 12 Monate nach Ende der Unterschriftensammlung keine Neuigkeiten erstellt und den Status nicht geändert. openPetition geht davon aus, dass die Petition nicht eingereicht oder übergeben wurde.
Wir bedanken uns herzlich für Ihr Engagement und die Unterstützung,
Ihr openPetition-Team
Débat
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